lundi 29 janvier 2018

dépénalisation

La semaine dernière, pas mal de psedo débat sur le dépénalisation. Une question évidente n'a jamais été posée (ou je ne n'ai pas entendue)
Pourquoi, dans un pays ou on pleure après le déficit public, on s'assoie sur 1 milliard de recette annuelle pour la laisser fiancer le terrorisme et le banditisme. Car cette manne financière existe, et l'agent dépensé pour combattre le trafic n'a réussi qu'a propulser la France en tête des pays consommateur. Ce flux de devise disparait donc sans bénéfice pour l'état.

Autre manière de poser le problème (un peu tordu comme les aime Bourdin) A qui profite le crime? On a déja vue une élue socialiste à Marseille la main dans le pot de confiture, pas pour faire le guetteur dans les cité, mais pour blanchir de l'argent du trafic. Dire que les politiques ne font rien parce qu'ils en croquent n'est donc pas qu'une théorie complotiste, mais une possibilité déja corroborée dans les faits, au moins sur un exemple avéré. Et si dealers avaient eux aussi leur lobby, qui prône la pénalisation car la légalisation signerai l’arrêt brutal de leur activité?

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